Remitieron la solicitud al comité científico de las 1843èmes Journées de la Société d’Anthropologie de Paris, que se celebran entre los días 24 y 26 de enero en Poitiers, Francia.
Imaginons qu'en étudiant le fémur, on démontre qu'il est bipède, cela confirmera ma thèse. La position phylogénétique de Sahelanthropus reste débattue par les spécialistes. Il précéderait de peu la divergence entre les chimpanzés et la lignée humaine.
Chez les quadrupèdes, le trou occipital est en arrière de la tête, dans le prolongement de la colonne vertébrale.
Este es el fémur del que no hemos tenido noticias aún, y cuya descripción trataron de presentar Roberto Macchiarelli y Aude Bergeret en las 1843èmes Journées de la Société d’Anthropologie de Paris recientemente celebradas en Poitiers. Dans le cadre de la quête de notre ancêtre, les découvertes de fossiles humains se sont succédé dès la fin du xixe siècle : d’abord en Europe (Néandertaliens, Cro-Magnon) ; puis en Asie (Homo erectus). Estos fósiles son útiles ya que se trata de linajes que incrementan sus dimensiones con el paso del tiempo geológico: conociendo las dimensiones de un antracoterio del Mioceno medio o final, tendremos información acerca del periodo geológico en que vivió cualquier fósil asociado con él.
Il y a 7 millions d'années, au Tchad, vivait le plus vieil hominidé connu : Toumaï. La bipédie, que l’on tient habituellement pour un caractère dérivé propre à la lignée humaine, peut aussi bien être un caractère ancestral.
La considérant comme un filtre, il reste à déterminer selon lui, sa perméabilité différentielle pour chaque groupe et chaque époque[27]. C'est le plus vieil hominidé connu. En apoyo a su tesis de que la localidad TM 266 es un yacimiento alterado, llaman la atención acerca de la pátina azul que cubre toda la superficie de los fósiles.
Et la découverte de Toumaï en 2001 remet en cause complètement l’East Side Story de Coppens. Mais, la découverte d’Abel en 1995 par Michel Brunet, à l’Ouest du rift, vient établir des doutes quand à la probabilité de cette théorie. Guy F., Lieberman D. E., Pilbeam D., Ponce de Leon M. S., Likius A., Mackaye H. T., Vignaud P., Zollikofer C. P. E. et Brunet M., 2006. (2008), “Cosmogenic nuclide dating of Sahelanthropus tchadensis and Australopithecus bahrelghazali: Mio-Pliocene hominids from Chad”. Pour Brunet, « ce grade aurait pu précéder ou bien être associé à l'acquisition d'une bipédie primitive », attestée avec certitude chez Orrorin tugenensis[3]. Des méthodes de datation relative biochronologiques ont permis d'estimer l’âge de Toumaï à environ 7 millions d'années, en se fondant sur le degré d'évolution des mammifères, particulièrement des proboscidiens (Anancus kenyensis et Loxodonta sp.) Les auteurs ajoutent à cet argument une démonstration de l'écart morphologique existant entre le crâne de Toumaï virtuellement reconstruit et celui d'un chimpanzé ou d'un gorille.
En guise de conclusion provisoire, le professeur de paléoanthropologie José Braga, à l'université Paul Sabatier de Toulouse, écrit à propos des restes du Miocène supérieur et du Pliocène inférieur, que sont Sahelanthropus tchadensis, Orrorin tugenensis et Ardipithecus ramidus s. l., « Le statut d'hominine des fossiles, encore peu nombreux, découverts dans ces périodes chronologiques, reste discuté, à des degrés différents, notamment, selon leur état de préservation »[42]. (2005), “New material of the earliest hominid from the Upper Miocene of Chad”.