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», Assez des #fakenews qui abiment la parole politique et le débat public, en particulier sur nos aînés.
La description du compte incriminé est pourtant sans ambiguïté. « Il est explicitement indiqué dans mon pseudo et dans ma biographie que je suis un compte parodique. l’humour ». Caricatures : Twitter supprime le message de l'ex-Premier ministre malaisien pour qui "les musulmans ont le droit de tuer des millions de Français", Royaume-Uni, Corée du Sud, Allemagne : la haine sur internet ne connaît pas de frontières, Contenus haineux ou dangereux sur internet : la Commission européenne prépare des propositions pour réguler le web, Réseaux sociaux : Jean Castex veut beaucoup plus de modération, À Toulouse, une société surveille les réseaux sociaux et signale les contenus illicites.
« Nous ne voulons pas encourager le piratage en autorisant la diffusion de documents obtenus illégalement », continue l'entreprise basée à San Francisco, qui admet cependant « avoir encore du travail » pour clarifier l'application de ses propres règles. « Je pars du réel que je pousse jusqu’à l’absurde. Le compte Twitter Le journal de l’Elysée n’est pas près de trouver grâce auprès de certains élus La République en marche (LREM). Interrogé par RT France, son fondateur se défend de désinformer l'opinion publique. Le président américain a également accusé le réseau social à l'oiseau bleu d'avoir bloqué le compte de sa porte-parole, Kayleigh McEnany, pour avoir partagé l'article. L'organisation patronale regrette leur fermeture et plaide pour une réouverture d'ici 15 jours.
Et une polémique de plus.
Présidentielle américaine : plus de 10 millions d'électeurs ont déjà voté. Eviter l'effondrement économique et la perte de compétitivité de la France à l'échelle mondiale. INTERVIEW : @auroreberge « Il convient de s’interroger sur la légitimité de ceux qui contestent nos choix politiques (...) Les retraités votent pour décider de l’avenir de notre pays alors même qu’ils n’en feront plus partie, il faut que cela change.
Pour paramétrer l’utilisation des cookies veuillez accéder dans la rubrique «Paramétrer vos choix» et pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter la rubrique «Politique de Confidentialité». Avec captures d'écran de médias à l'appui... Ces tweets circulent, polluent, et nous prêtent des propos mensongers. Le compte Twitter du Journal de l'Élysée colle aux hommes et femmes politiques de fausses affirmations sur de vraies photos. « Il convient de s’interroger sur la légitimité de ceux qui contestent nos choix politiques (…) Les retraités votent pour décider de l’avenir de notre pays alors même qu’ils n’en feront plus partie, il faut que cela change » aurait-elle ainsi affirmé, à en croire cette publication virale qui donne lieu à de nombreux commentaires indignés.
Le Premier ministre Édouard Philippe n'a jamais prononcé cette phrase. Le journal de l'Elysée - Parodie. Sur Facebook, Aurore Bergé, députée et porte-parole de La République en marche, fait l'objet de vives critiques sur des propos qui lui sont prêtés. Twitter a rappelé que discuter de l'article n'était pas interdit, seulement le partage des documents.
Le climat des affaires s’améliore-t-il en France et à l’étranger ? Les élus LREM craignent surtout que les fausses citations qui leur sont attribuées soient prises au sérieux par les internautes.
Au cours de ces derniers jours, nombre d’entre eux ont exprimé leur indignation face aux publications parodiques dont ils ont parfois fait l’objet.
Aurore Bergé, députée des Yvelines et porte-parole de La République en marche (LREM) fait Mais il s’agit de dénoncer avec humour, en aucun cas de nuire », explique à 20 Minutes le créateur du compte parodique.
Il s'agit en fait d'une citation parodique du compte Twitter « Journal de l'Elysée », qui est prise au sérieux depuis sa réutilisation hors contexte sur les réseaux sociaux. les codes des médias, et chaque fausse citation est associée à une capture d’écran de son auteur. Fabrice Le Saché, vice-président et porte-parole du Medef, était l'invité de Dimitri Pavlenko, sur Radio Classique, à 7h15. « (C'est) si affreux que Twitter et Facebook aient retiré l'article sur les mails 'armes du crime' liés à Joe Biden l'endormi et son fils, Hunter, dans le New York Post », s'est de son côté indigné Donald Trump sur son réseau favori.
Mais Andy Stone, l'un des responsables de la communication du groupe, a déclaré que la visibilité de l'article avait été réduite le temps que ses équipes jugent de sa véracité.